LifeAfter : test & avis

LifeAfter : test & avis

Le jeu de survie qui en propose plus
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Aux origines de LifeAfter

LifeAfter est un jeu hybride de survie & d’aventure post-apocalyptique paru sur le Playstore en Novembre 2018. Il a été développé par NetEase Games dont je vous ai déjà parlé pour Ace Racer et édité par X.D. Global. Détail intéressant : LifeAfter est ce qu’on peut appeler un portage inversé car c’est la version mobile qui a été adaptée sur PC en février 2019.

Le logo de NetEase Games

Présentation de LifeAfter

LifeAfter nous place dans le rôle d’un survivant à une épidémie ayant fait basculer une grande partie de la population mondiale dans la zombitude. Ce thème de départ, archi-usé depuis quelques années, a un avantage indéniable sur son rival post-apo qu’est l’hiver nucléaire : toutes les technologies fonctionnent encore et l’humanité, bien qu’affaiblie, a tout ce qu’il lui faut pour se défendre et n’est pas menacée d’extinction à court terme. Il faut reconquérir et reconstruire.

Je considère LifeAfter comme un jeu hybride car l’aspect survie est nettement moins hardcore que dans les titres de Kéfir! ou Brickworks (comme Grim Soul) et tous les jeux qui s’en sont inspirés.
Et à l’inverse de ces jeux LifeAfter propose une vraie trame scénaristique, basée sur la recherche de l’origine de l’Infection, qui aborde des sujets forts : la dégradation des rapports humains quand les barrières sociales disparaissent, les dérives idéologiques & sectaires, la force des liens familiaux, la science sans conscience, la domination de la peur sur le courage chez la plupart des gens…
Le scénario est malheureusement un peu entaché par la traduction de mauvaise qualité (clairement faite par IA). Un effort supplémentaire là-dessus aurait été bienvenu. Néanmoins cette traduction est très récente et on peut espérer une amélioration dans les temps à venir.

On est donc loin des successions de quêtes avec parfois peu – voire pas – de suite logique qu’on trouve dans d’autres titres axés uniquement sur la survie. Et une autre différence de taille achève de différencier LifeAfter de ces jeux : les outils, vêtements et armes s’usent beaucoup moins vite ce qui permet d’alléger le farm et de libérer du temps pour faire avancer le scénario. La mort est également beaucoup moins pénalisante.

La direction artistique

Graphiquement LifeAfter est très plaisant surtout si vous pouvez pousser tous les graphismes au max, en « mode film » (l’appellation est un poil exagérée…)
L’environnement est très bien numérisé et vos sorties en forêt ou en montagne vous raviront les yeux, avec des belles couleurs et des effets de lumière impeccables. Les effets météo sont aussi bien maitrisés (la pluie est bluffante).
Les PnJs sont bien différents les uns des autres et facilement identifiables.
Les infectés par contre sont moins travaillés et manquent de détails mais quand ils débarquent par packs de 8 ou 10 on est pas trop regardants sur le réalisme de la joue moisie du 3° à partir de la gauche…

Le gameplay dans LifeAfter

Cette concession sur l’usure de votre équipement est néanmoins la seule qu’a faite NetEase : vous devrez quand même passer un temps considérable en extérieur pour chasser, pêcher, cueillir et récolter bois et minerais.

Ces ressources vous serviront à fabriquer chez vous tout ce dont vous aurez besoin pour votre quotidien. Il faudra construire des ateliers, établis et stations de recherche pour créer votre équipement, vos armes & munitions, pour cuisiner, cultiver la terre et élever du bétail… Rien n’a été oublié pour assurer votre survie quotidienne et le réalisme est respecté même si les délais de culture et d’élevage sont bien sûr drastiquement réduits.

Les dévs ont d’ailleurs inclus dans le jeu le cycle des saisons et les effets du climat sur la nature et sur vous-même : il faut faire du feu quand vous avez froid, se mettre à l’abri lors des blizzards, les champignons poussent quand il a plu…

Mes différents ateliers au rez-de-chaussée de mon manoir.

En extérieur il faudra évidemment faire attention aux mauvaises rencontres. Vous n’avez rien à craindre des autres joueurs car le PvP se fait dans des zones dédiées et pas à la sauvage dans les cartes ouvertes.
Le danger viendra bien sûr surtout des Infectés. En monde ouvert si vous restez dans les zones de votre niveau, que vous ne sortez pas la nuit et êtes prudents le jour, vous ne devriez pas mourir. Par contre certaines missions du scénario vous feront prendre de grands risques en affrontant des groupes entiers ou en infiltrant des bases envahies. Au début du jeu vous êtes cantonnés à un arc simple mais vous aurez rapidement accès à une arme plus efficace qui vous permettra d’enchainer les cartons.

Gros inc d’infectés.

Un petit air de Resident Evil

On s’éloigne ici complétement du jeu de survie pour trouver un coté action / aventure très prononcé. D’où le terme de jeu hybride.
Certaines séquences sont même typées jeu de guerre avec un arsenal carrément militaire disponible contre certains infectés spéciaux. Parfois vous devrez combattre dans des maisons et le jeu vire alors au survival-horror dans une atmosphère confinée avec peu de lumière et un rayon d’action très réduit.

Quand un élite de ce style arrive on a droit à un mortier, un lance-flamme et autre joyeusetés.

Mourir lors de ces scénarios n’entraine aucune pénalité. Et c’est tant mieux car la jouabilité de ces séquences est très moyenne et c’est un des défauts de LifeAfter : la visée est capricieuse et les déplacements des infectés sont très saccadés.
Pour ne rien arranger la gestion des collisions est mal paramétrée et si un infecté vient au corps-à-corps il devient parfois impossible de lui tirer dessus. Il faut alors s’éloigner pour kite et tuer de loin mais sur certains events ca fera bugger les mobs qui vont freeze ou retourner au point de spawn. Agacant.

L’évolution de votre personnage

Au fil de votre avancée vous accumulez de l’expérience et des points de compétences de toutes sortes. Comme dans tous les jeux de survie les stats brutes de votre personnage augmentent peu mais ca ne vous empêche pas d’évoluer.
Le niveau de votre manoir vous apportera de nouvelles possibilités de craft qui vous rendront plus forts (arme, armure, nourriture…).
Votre équipement pourra être amélioré de plusieurs façons avec des matériaux parfois très rares.
Vous possédez des aptitudes de collecte, d’artisanat et de combat qu’il est possible d’améliorer via 3 arbres de talents séparés. Vous y gagnerez un grand nombre de bonus très utiles.
Une fois bien avancés dans le jeu vous aurez carrément accès à une modification génétique.

La fiche de perso très complète est sur plusieurs pages.

Un très gros travail a été fait par NetEase sur les possibilités de personnalisation de votre maison. Comme dans la plupart des titres il faudra la construire vous-même du sol au plafond. LifeAfter vous transforme alors en véritable architecte en herbe. La surface disponible au sol d’environ 150 m2 est très conséquente. Vous pouvez bâtir sur plusieurs étages avec une très grande liberté d’agencement et selon plusieurs styles.
Il faudra farmer beaucoup de bois & de minerais mais vous avez la possibilité de construire exactement ce que vous souhaitez et même d’accéder au final à un luxe indécent.
C’est tellement poussé qu’il y a régulièrement des concours des plus belles constructions. Certaines n’ont rien à envier aux villas de rêves d’Instagram.

Mon manoir est moche mais fonctionnel (j’avais plus de bois pour la décoration). RdC pour le craft, 1° étage pour le rangement, 2° pour la sieste et rooftop pour l’apéro.

Le jeu en guilde

Les joueurs sont regroupés par camps (l’équivalent des guildes). Tous les membres du même camp habitent dans le même quartier. Vous pouvez déambuler à pied ou en moto autour de chez vous pour visiter les constructions de vos voisins.
Rejoindre un camp permet entre autres de se rassembler pour des raids de boss PvE. Vous pourrez aussi profiter d’un système d’achat / vente interne à la guilde. Il existe pas mal de guildes françaises mais leur degré d’activité est très variable.

Le quartier de mon camp avec les manoirs des guildmates à différents niveaux d’avancement.

La monétisation de LifeAfter

En ce qui concerne la stratégie commerciale du jeu on a comme d’habitude de bonnes surprises avec NetEase Games.
LifeAfter n’est pas du tout P2W et encore moins pay-to-play. Il n’y a aucun système d’énergie ou d’endurance qui limitera votre temps de jeu.
Vous pouvez tout-à-fait avancer dans le jeu et atteindre le endgame sans débourser un centime. D’ailleurs dans ce genre de jeu où il faut tout faire soi-même je trouve ca bien plus gratifiant d’y arriver à la force du farm qu’avec la puissance de la CB.
Ceci dit si vous souhaitez accélerer un peu votre départ dans le jeu il existe 2 options intéressantes :
Le « fonds de LifeAfter » qui coûte 18E et vous apportera de belles récompenses tous les 2-3 niveaux jusqu’au lvl 30.


Ou l’abonnement mensuel avec une flopée de petits avantages qui coûte 5E.
Il y a pas mal d’autres choses dans la boutique mais je vous conseille un de ces 2 achats.
La première dépense effectuée vous octroie en plus un autre joli cadeau : un pack avec une arme évolutive très performante, une tenue permanente uniquement cosmétique, un titre spécifique avec un petit bonus de déplacement et de collecte et un peu d’argent et de nourriture.
Ne prenez pas le pack de débutant à 1.19E. Il contient un fusil à pompe complétement dépassé par l’arme de ce pack.










Pourquoi je vous conseille LifeAfter

  • Graphiquement bien abouti.
  • Un mélange de survie et d’aventure / action réussi.
  • Un scénario long et réfléchi.
  • Construction de maison très poussée.

Ce qui pourrait vous déplaire

  • Maniabilité imparfaite pendant les phases d’action.
  • Traduction automatique approximative.
Graphismes★★★★☆
Ambiance★★★★★
Jouabilité★★★☆☆
Durée de vie★★★★☆
Scénario / Lore★★★★★
Musique et sons★★★★☆
Boutique★★★★☆

Le mot de la fin

LifeAfter a conquis un public et c’est totalement mérité. Le jeu est beau et prenant et bénéficie d’un scénario travaillé alors qu’il part d’un pitch vu et revu. Le mélange des genres survie, aventure et action fonctionne très bien. LifeAfter se montre même plus réaliste que certains survival (qui peut casser une hache en coupant 3 arbres ?). Il offre d’ailleurs bien plus de confort car moins répétitif.
Il n’a pour l’instant aucun concurrent sérieux mais la sortie prochaine de Undawn Mobile pourrait rebattre les cartes.


Lien direct vers le jeu sur le Playstore ici


Regardez la cinématique du jeu sur la chaîne Youtube de GameScout.

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Grim Soul : test & avis

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Survie au quotidien
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Aux origines de Grim Soul

Grim Soul est un jeu de survie sorti en février 2018 et développé par Brickworks Games, un studio chypriote. Il a été crée en collaboration avec Kefir! qui avait produit l’année précédente Last Day on Earth, un premier jeu de survie.

Les jeux de ce genre sont assez nombreux sur le Playstore et possède quelques particularités bien à eux qui les différencient des RPG classiques. La mort est très pénalisante, les statistiques de votre personnage n’évoluent pas avec les niveaux et il faut beaucoup farmer pour tout construire par soi-même.

Le cimetiere est un lieu très animé

Présentation et direction artistique de Grim Soul

Visuellement Grim Soul fait partie des bons élèves de la catégorie. L’ambiance se veut réaliste autant dans les personnages que dans les décors. Les graphismes restent assez simples et manquent un peu de détail mais l’immersion est totalement réussie.

L’environnement sonore est aussi bien réalisé. Les musiques sont discrètes et les bruitages réalistes

La carte des zones entourant mon domaine

On est dans un univers médiéval qui tend vers la Dark Fantasy et le jeu répond à toutes les attentes du genre. Le monde est sombre, brumeux et plein de dangers naturels ou fantastiques. Au fil de vos excursions dans les Maleterres vous serez menacés aussi bien par des ours et des loups que par des sorcières et des mort-vivants.

Partie de chasse au cerf et à l’ours

Les jeux de survie à tendance réaliste sont des jeux de rôles. Mais votre personnage reste le même tout au long du jeu et ne gagne pas en puissance brute lorsqu’il monte en niveau. Il apprend seulement à fabriquer de meilleures armes et armures, à améliorer sa maison, à cuire, cultiver, tisser, fondre… La vie de l’époque !

Mes zones de cultures collées à ma maison. Ecurie en chantier à coté.

Le gameplay de Grim Soul

Toutes ces avancées techniques demandent beaucoup de ressources et il faut inlassablement farmer pour les amasser et s’équiper ainsi pour les gros défis qui font avancer la trame principale. Mais le farm est lent car sortir de chez vous est très risqué et vous devez toujours être prudents.

Au début vous devrez farmer nus, sans aucun équipement excepté une massue. De cette façon si vous mourrez vous ne perdez que ce que vous veniez de récolter. Si vous retrouvez votre cadavre vous pourrez reprendre vos affaires mais c’est souvent infaisable : vous mourrez en général à proximité d’un ennemi dangereux et y retourner alors que vous venez de perdre votre arme et vos soins est voué à l’échec.

Il faut toujours tout fouiller mais parfois ce qui sort d’un cercueil n’est pas tout-à-fait mort

L’inventaire très réduit, par réalisme, oblige à des choix souvent difficiles. On part avec une massue à la main, une hache et une pioche dans le sac pour prélever bois et minerais, et quelques objets de soins dans la ceinture.

Il aura auparavant fallu fabriquer tous ces objets vous-même.

Une fois sur place le farm commence. On coupe des arbres, on extraie des minerais, on cueille des plantes, on chasse des animaux, on se défend contre les agresseurs… L’inventaire se remplit très vite même si on peut – heureusement – empiler les ressources identiques.

Je me suis sapé pour la photo

Un artisanat long et laborieux

On rentre ensuite chez soi avec toutes nos trouvailles. On s’en sert pour fabriquer des armes et des armures mais aussi et surtout des outils pour le quotidien : un puits pour puiser de l’eau, un ratelier à viande pour sécher la viande, un feu de camp pour mijoter des plats, des établis pour travailler la pierre, le bois, le tissu ou le cuir, des coffres pour stocker tout ce que vous trouvez et produisez…

Tout prend du temps donc il faut toujours avoir des choses en production pour créer un cycle ininterrompu alimenté par votre farm.

Cet aspect du jeu est ultra-réaliste. Tout l’équipement que vous fabriquez s’use vraiment très vite et vous devez sans cesse le réparer ou le renouveler.

L’intérieur de ma maison avec les différents feux, ateliers et établis

Vous apprendrez de diverses façons à améliorer vos techniques de productions et aussi votre façon de vous battre. Vous aurez toujours la même force quel que soit votre niveau mais vous comprendrez comment taper plus fort et comment mieux vous protéger. Il faudra néanmoins choisir parmi vos aptitudes lesquelles vous voulez approfondir. On ne peut pas tout avoir.

En avançant un peu dans le jeu vous aurez accès à des fonctionnalités assez cool comme un enclos à loups pour avoir un familier à vos côtés. Vous construirez une écurie pour avoir un cheval et faciliter les trajets, et pourrez même construire une charrette puis carrément un bateau, bien plus loin dans le jeu.

Dépensez vos points de talents obtenus en montant de niveau pour apprendre à construire de nouveaux objets.

Survivre malgré le multijoueur

Faire tout cela n’est pas vain et le but du jeu est le plus simple qui soit : survivre et devenir quelqu’un dans les Maleterres. Vous pouvez correspondre via un corbeau messager avec un mystérieux allié qui vous conseille et vous donne des quêtes à accomplir pour progresser. Ce sera la trame principale du jeu qui vous guidera jusqu’au end-game avec les World Boss en extérieur et les donjons en guilde.

En effet vous apprendrez rapidement à construire un Sanctuaire dans votre maison, qui permet de rejoindre une confrérie et de jouer ensemble pour relever de plus grands défis. Toujours avec prudence évidemment.

Un repaire de boss bas niveau. N’y allez pas non plus les mains dans les poches.

Grim Soul est un monde semi-ouvert ce qui signifie que chaque zone est instanciée, aussi bien les zones de farm que les domaines des joueurs. Vous en rencontrerez souvent et devrez être très vigilants car ils auront tendance à vous attaquer pour vous dépouiller.

Un joueur qui porte de l’équipement dans une zone de farm est très certainement à la recherche de victimes potentielles. Fuyez pour sortir de la zone puisque vous ne pourrez pas être poursuivis.

Si vous souhaitez en découdre assurez-vous d’avoir un stock de soins suffisant et une arme en bon état : si elle se brise au milieu du combat vous vous retrouverez à vous battre à mains nues avec des dégâts ridicules.

Une réserve d’arme est toujours utile.

La monétisation de Grim Soul

La boutique de Grim Soul est hallucinante. Il y a 57 packs différents répartis en plusieurs catégories : armes, familiers, talents, ressources… Avec des prix allant de 0.99E à 99.99E ! Quand on sait que les armes et armures ne sont pas éternelles et ne peuvent pas être réparées avant le mid-game c’est osé.

Aucun forfait ni abonnement ni season pass. C’est très étonnant de la part du studio qui prive ainsi les joueurs d’un format apprécié en plus de rater cette rentrée d’argent. Si vous aimez le jeu et souhaitez investir un peu je vous conseille la section « bibliothèque » qui contient entre autres des éclats d’âme et des livres de compétences, qui servent pour vos talents.

Une boutique remplie d’achats oneshot. Décevant.

Je me suis équipé pour un boss mais ce damné en fait les frais aussi.

Je suis mort de faim chez moi devant mon repas en écrivant cet article…

647 jours de survie c’est beau. Et dommage.

Vos quêtes reçues sur parchemins.

Une zone de farm niveau 2.

Pourquoi je vous conseille Grim Soul

  • Un univers dark fantasy sobre et très immersif.
  • La mort très punitive oblige à une prudence constante et empêche de faire n’importe quoi.
  • Le plaisir de ne partir de rien pour tout créer soi-même.
  • Même le farm peut apporter sa dose d’adrénaline.

Ce qui pourrait vous déplaire

  • Les objets s’usent trop vite, bien plus que dans la réalité.
  • Il faut quand même beaucoup farmer.
  • Si vous mourrez contre un boss avec votre meilleur équipement crafté exprès pour le tuer je ne donne pas cher de votre moral.
Graphismes★★★☆☆
Ambiance★★★★★
Jouabilité★★★★☆
Durée de vie★★★★★
Scénario / Lore★★★★★
Musique et sons★★★★☆
Boutique★★☆☆☆

Le mot de la fin

Grim Soul, comme tous les jeux de survie, ne peut pas vous laisser indifférent. Soit on adore soit on déteste ! L’immersion est très poussée car on se sent vraiment concerné par le devenir du héro : sa mort est toujours une perte directe pour le joueur. Alors on est prudents : on anticipe plusieurs jours à l’avance, on se prépare du mieux possible, et quand le moment est venu on ferme notre porte et on donne notre maximum dans le monde extérieur. Comme dans la vraie vie !


Lien direct vers le jeu sur le Playstore ici


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